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La Route du Crabe
4 décembre 2016

Trans Musicales, le retour

> Difficile de reprendre la main pour ce genre de festivités quand l'esprit et le corps sont des lourdes charges à porter. J'ai d'ailleurs reconnu après coup ce réflexe de tout vider, crument et désinvoltement, le premier soir. Il ne restait presque rien de connecté après minuit dans mon esprit. Le parcours était devenu alors instinctif, nerveux et exclusivement électrique : les données furent tronquées et autosuffisantes. Une présence à mes côtés depuis l'apéritif éclair a heureusement tempéré cette fuite dans le noir. Que reste-t-il du premier soir, du rire pour cacher le reste. <

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