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La Route du Crabe
8 décembre 2013

tRANSMUSICALES #35

> Longue nuit pour finir, rassassié par les sensationnels Ukrainiens de DakhaBrakha, le reste n'était que du bonus. Enfin ce samedi, l'errance fut longue depuis l'apéritif congelant place Sainte-Anne : de Lonnie Holley à Ibibio Sound Machine, de Bostun Bun à Louisahhh!!! et Joris Delacroix ou Konstantin Sibold (plus de souvenir à ce stade, la fatigue m'envahissait de partout jusqu'à ne pas aller découvrir Acid Arab) . Oubliez Daughn Gibson, Superets, A Tribe Called Red et les autres. Pour finir ce marathon : la précipitation des quatre compagnons du Rhône-Alpes prêts pour le train de 7h00 ; le lever du jour et sa teinte rose-orange salie par les évacuations des chauffages collectifs du skyline sud de Rennes. <

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7 décembre 2013

&gt; Au premier étage de la grande salle urbaine,

> Au premier étage de la grande salle urbaine, Disco Anti Napoleon comme unique plaisir de l'après-midi. À l'unisson, ce vendredi était la soirée à ne pas manquer... Et malgré notre arrivée tardive sur le site qui nous a fait manquer Nova Heart, The Skins, Oum Shatt (encore visibles le dimanche sur le net), on en avait pour toute la nuit... Mikhael Paskalev, Le Vasco, Meridian Brothers, Marcus Marr, The Crystal Ark, Public Service Broadcasting. Comme il faisait froid au retour. <

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6 décembre 2013

&gt; Après-midi bercé pr la prestation

> Après-midi bercé pr la prestation convaincante de Fat Supper et les apparitions de La Yegros et Oum Shatt en session acoustique. La suite en soirée en périphérie rennaise et en compagnie des retardataires qu'on a accueilli à notre vieille habitude "hall 3 à droite" : London Grammar, Luke Jenner, La Yegros, Har Mar Superstar (pas de souvenirs des autres prestations). À Jean Mermoz, mort dans l'océan Atlantique le 7 décembre 1936. <

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1 décembre 2013

De chêne en chêne

> Nous y allions souvent, selon les occasions et à n'importe quelle heure du week-end. Ce soir malgré tout, je ne peux pas vraiment dire que je connais encore bien cette forêt, le guide est mort. La départementale 71 en direction du chêne des Hindrés, la départementale 31 qui délimite le nord-est de la zone et mène au château de Comper, la départementale 141 pour atteindre le chêne millénaire de Guillotin, puis Tréhorenteuc, bourg étrangement familier. Chaque excursion se solde par le retour sur la D40 qui semble nous extirper d'un certain purgatoire. Verdoyante, luxuriante et lugubre à chaque saison, j'ai toujours aimé rouler ici - à la recherche d'une ambiance "lynchienne" - en musique. <

Paimpont 01 MAGENTA POP

Chêne-à-Guillotin 21 MAGENTA POP

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