Antalyalı gibi

> Des sensations familières que je retrouve : la température élevée qui nous fait apprécier un soir qui tombe prématurément, les enfants qui collent leurs parents tard dans la nuit sur les terrasses, tous en quête de fraîcheur, les sirènes de police étrangères à mes oreilles, les appels a la prière comme des anciennes ponctuations quotidiennes plus empruntes d'histoire que de ferveur à mes yeux, les fenêtres ouvertes partout qui laissent justement passer tous ces bruits urbains et pourtant équivalant à une certaine idée de la tranquillité. Le trafic continu, les fruits chargés de l'été, les insectes ou les lézards rassurés par la compagnie humaine. Antalya, ma moitié citadine, est douce et folle a la fois et je rentre dans ma seconde peau avec plaisir. Le temps passera sans que je le sente, sans que je le veuille. <

Comments

[S*]

La chance cette escapade... J'aurais besoin de soleil toute l'année. Quelle idée l'hiver !