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La Route du Crabe
24 novembre 2008

Ko Phi Phi

> L'île ressemble à un autre paradis où les anges boivent des bières ou des cocktails à la paille dans des seaux en plastique, où les anges regardent le feu maitrisé sous forme de jeu par les autochtones, où les anges savent nager avec des poissons merveilleux, où les anges sont obliger de se référer aux gardiens de l'Eden (des rabatteurs) pour dormir et parcourir l'endroit. Certains se couchent tôt parce qu'ils plongent le lendemain, d'autres arpentent les bars ou les dancefloors.

Bida Nok, 53 minutes dans une eau à 30°C, à une profondeur moyenne de 11,3m, avec une visibilité de 20 mètres. Malong, 61 minutes dans une eau à 30°C, à une profondeur moyenne de 10,4m, avec une visibilité de 15 mètres. La liste serait longue pour citer les différents poissons, végétaux vus dans cette mer d'Andaman. Mais je ne connais même pas leur nom exact et vu que là, je les ai entendu en anglais... Nager avec des tortues entre les poissons multicolores, ça reste quand même un rêve de gosse.

ชื่อภาษา (Phang Nga)... La fusée est partie faire son job. La guesthouse ressemble à une planque de policiers dans un ghetto new-yorkais. J'hésite entre prendre un bus pour douze heures de trajet sans voir le parc naturel ou prendre un avion à Krabi afin de profiter de ma demi-journée ici. L'objectif est de rentrer à BKK pour une dernière soirée. Je vais au final trainer encore un peu dans la mangrove, entre les pitons calcaires (le système karstique) et les spots touristiques. Le village lacustre de Ko Panyee, même s'il a des allures de pièges à touristes, conserve une originalité tout à fait étonnante : il s'agit d'une implantation musulmane ancienne au pied d'une roche dont la verticalité est vertigineuse. Et la mosquée veille les baraques qui survolent la mer et les viviers. <

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